5 janvier 2010
La cuisinière canadienne
La science de bien se nourrir contribue à prolonger la vie. À la campagne comme à la ville, on possède généralement tout ce qu'il faut pour faire bonne chère, viandes, légumes, fruits, souvent poisson et quelquefois gibier, mais il arrive aussi fréquemment que la ménagère ignore comment tirer meilleur parti possible de ce qu'elle a sous la main. Sans connaissances culinaires, il est impossible qu'elle évite la monotonie. Il y a pourtant cent manière d'apprêter chaque aliment.
On ne trouvait point, en librairie, de traité qui répondit aux besoins. Ceux qu'on y offre en vente viennent d'autres pays et enseignent une cuisine qui n'est point la nôtre.
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